Un peu d’histoire…
Les soins égypto-esséniens, comme leur nom l’indique, sont issus de la culture égyptienne.
A l’époque, sous le règne du pharaon Aménophis III, les prêtres réunirent toutes les connaissances thérapeutiques passées et présentes. Ceci incluait les connaissances scientifiques actuelles mais aussi tout ce qui touchait au subtil, de façon à avoir une prises en charge totalement holistique.
Ces soins s’occupaient de tous les corps du patient, des plus denses au plus subtiles en connexion avec le Divin à travers l’utilisation d’huiles sacrées, d’huiles essentielles, de l’intention à le fois pensée et verbale.
Akhenaton, fils d’Aménophis III créa une école où étaient enseignées ces techniques thérapeutiques. Lorsqu’il mourut, ses détracteurs détruisirent l’école et poursuivirent ses prêtres qui durent s’enfuir hors d’Egypte. C’est en Palestine, à l’école du Mont Carmel, qu’il purent poursuivre la transmission des ces enseignements. C’est ainsi que la communauté essénienne en a bénéficié et en est l’héritière.
Les esséniens étaient formés au Mont Carmel pendant 7 à 12 ans. Beaucoup de matières importantes y étaient enseignées mais surtout la préciosité du sacré et du lien entre le corps, l’âme et l’esprit. La prise en charge global de l’individu était donc au premier plan de leur technique thérapeutique car chaque corps influence réciproquement les autres. (dans l’anatomie occulte on considère que l’individu possède 7 corps du plus dense au plus subtil : physique, éthérique, astral, mental, causal, bouddhique et monadique cf schéma simplifié).
Durant cette formation, pour augmenter progressivement leurs capacités énergétiques, les étudiants esséniens devaient se rendre sur différents sites égyptiens afin de recevoir les vibrations nécessaires des lieux. C’est pourquoi lors de la préparation de Jésus pour « recevoir » le Christ en lui, il dût également passer par ces différents sites égyptiens ainsi que d’autres esséniens connus comme la très Sainte Marie, Saint Joseph d’Arimathie, Sainte Marie Madeleine.
En pratique…
Les soins égypto-esséniens contribuent à faire circuler l'énergie dans les différents corps de la personne. En utilisant l’apposition des mains avec les huiles sacrées, l'énergie divine va venir s’installer là où elle doit aller, rééquilibres chacun des corps, libérer les nadis, etc.
Durant tout la durée du soin le thérapeute garde l’intention de santé parfaite du patient, il peut aussi utiliser des phrases pour manifester le verbe créateur.
Ce Verbe est également activé par la personne qui reçoit le soin. En effet, la première étape de cet échange commence par l’écriture de la problématique du soigné en 2 listes : une où figurent ceux qu’il veut voir disparaître dans sa vie, une autre où sera écrit ce qu’il souhaite voir apparaître dans sa vie. Une fois écrit il devra le lire à haute voix pour manifester ce Verbe et ainsi affirmer sa volonté et son libre arbitre par rapport à certains aspects de sa vie.
Les effets…
L’objectif est avant tout de retrouver un équilibre énergétique. La santé est l’état d’équilibre. Lorsque cet équilibre est présent, la personne a alors la force et les moyens de modifier ses modes de fonctionnements et ainsi se débarrasser des vieux schémas dysfonctionnels et obsolètes. La conscience augmentera et des changements de comportements commenceront à se mettre en place.
Remarques
Ces soins ne se substituent pas à un traitement médical.
De même, il faut pendre en considération que certaines problématiques sont d’ordre karmique et que manifestation de guérison est sous l’aval de la Divine Providence. Si la problématique doit persister pour régler une dette karmique ou pour apporter une leçon à l’individu alors le soin ne changera rien il pourra seulement apporter d’éventuelles prises de conscience sur d’autres comportements générateurs de karma négatif.